Fred DEMOOR commence la guitare à l'âge de 12 ans.
C'est en retrouvant la guitare classique de sa mère, rangée dans un étui poussiéreux ,qu'il essai ces premières phrases imprégnées des guitares héros des années 70.

Il apprend les rudiments dans l'école de musique du quartier Madeleine, puis sera autodidacte jusqu'à l'âge de 20ans.L'insertion dans le monde du travail coïncide avec la découverte du jazz...
Dés lors il ne se consacre plus qu'à la musique.

Il décide de suivre des cours particuliers, dans un premier temps, puis il intègre l'ENM de Villeurbanne. Les formations s'enchaînent ainsi que les différents styles.

Le jazz manouche avec la Rue désarchers, le rock fusion avec Unemployed, enfin le jazz avec duo Maydelone, puis la funk avec Ultimate Jammer's… Il accompagne aussi une compagnie théâtrale (les fous semblants) sur une tournée régionale.

Lors d'un voyage initiatique sur New York, une rencontre lui fait découvrir la musique improvisée.
Il y trouve une liberté jusqu'alors jamais envisagée...
Actuellement il se produit dans improjections (musique à l'image), funxcious brother's (funk and soul music), mafia bretzel (hiphop fusion acoustique).

C'est à ses 13 ans en découvrant le son de basse du groupe KoRn qu'Alex se met profondément à la musique des graves sonorités! Il travaille d'arrache-pied avec son premier professeur François Blanc pendant six années sur Clermont-Ferrand qui l'initie aux grands maitres tels que Marcus Miller, Jaco Pastorius ou encore Richard Bona.
Sous les excellents conseils de sa famille musicien, il s'installe à côté de Lyon où il intègre l'Ecole Nationale de Musique de Villeurbanne en département Jazz. Notre bassiste à plusieurs cordes à son arc puisque ses influences sont extrêmement diverses et variées, tels que le jazz, la funk, le hiphop, ou encore le métal.

Aujourd'hui il joue au sein de Hoplicity (nu soul/acid jazz) Le SPANG!,  Nephren-Ka (brutal death metal) et fait les premières parties de groupes internationalement reconnus comme Napalm Death, Gojira, Origin, etc.

Il commence la musique à trois ans en étudiant le piano. A 11 ans, il commence la batterie à l’école de musique de Campobasso. Puis il suit des cours de percussions classiques au conservatoire L. Perosi de Campobasso. En 2004, il déménage à Rome où il étudie le jazz au Saint Louis College of Music. Pendant ces années, il participe à divers séminaires et stages en Italie et à l’étranger (Siena Jazz, Roma Jazz’cool, Young JazzPuzzle, etc.)

Il fait partie du collectif de musique improvisée Franco Ferguson et joue dans différentes formations avec lesquelles il a enregistré plusieurs disques, dont Caterina Palazzi Quartet (Sudoku killer - Zone di Musica 2010), BAAP ! (Sweet dreams, Baby - Monk records 2010), Franco Ferguson (Amazing recordings - 2010), BarJazz (Nessuno - 2009)

Il a collaboré avec divers artistes dont John Tchicaï, Gianluca Petrella, Pierre Vaiana, Salvatore Bonafede, Jim Snidero...
Actuellement, il partage son temps entre Rome et Lyon.

Né à Strasbourg, Cem grandit à Istanbul en Turquie. Il commence la batterie à l'âge de 12 ans et fait ses premiers pas sur scène 2 ans plus tard.
Amateur de musique plutôt rebelle, son premier groupe reprend des tubes punk-rock et de hard-rock et arpente les festivals à Istanbul.

Arrivé en France en 2002 , il intègre l'American School of Modern Music à Paris, et suit des  études en composition et arrangement jazz. Diplômé en 2008, il joue dans plusieurs formations allant du trio jazz au big band (Balbazar), du reggae (Kahiki Band) à la chanson française (Maltosh) et donne plus d'une centaine concerts à travers la France.

Il découvre le monde de l'improvisation avec le jazz et le langage Soundpainting au sein de l'orchestre Balbazar. Il participe à des projets d'échanges culturels avec la Turquie, particulièrement autour du sens de l'improvisation et collabore avec le groupe turc Gevende.

Il commence ses études musicales au conservatoire d'Orléans où il obtient son D.E.M de trombone en 2007 avant d'intégrer le C.N.S.M.D de Lyon en 2008. Il reçoit son diplôme de Master de musicien interprète en 2012.
Son goût prononcé pour la création l'amène à se spécialiser dans la musique contemporaine. Il a alors travaillé avec des artistes tels que Pierre Boulez, Benny Sluchin, Peter Robinson.
C'est ce même attrait pour les techniques nouvelles qui lui fait croiser la route du Soundpainting en 2008 avec le collectif Orléanais "Paint Atonik". Sa rencontre avec Walter Thompson en 2009 le pousse alors à explorer ce mode de composition en temps réel dans les formes les plus diverses, du trio aux formations de plus de 10 musiciens, à la direction comme au trombone. Il est également invité depuis 2010 du "Think Tank" ( réunion mondiale des Soudpainters ) pour contribuer à l'avancement du langage.

Parallèlement, suite à ses études de musique classique, il collabore toujours régulièrement avec les orchestres nationaux français (Orchestre National de Lyon, Orchestre National de Lorraine, Orchestre Philharmonique de Monte Carlo, Opéra National de Lyon, ...)  
Le jazz comme les musiques électroniques sont également parties intégrantes de ses influences :  il se produit à plusieurs reprises au festival de jazz d'Orléans et travaille actuellement sur un projet hybride jazz-electro visant à rendre la musique électronique plus vivante sur scène.
Toutes ces expériences font de Jean-Baptiste LACOU un musicien complet et à l'aise dans les matières sonores complexes et volatiles du SPANG! avec lequel il travaille depuis 2012.

Saxophoniste

A 8 ans, il commence par apprendre le saxophone classique dans une école de quartier. C’est lors d’une rencontre fortuite avec le batteur et le contrebassiste d’intenso trio qu’il découvre le jazz et la musique improvisée. Dès lors, il continuera dans cette voie. Féru de genres musicaux éclectiques, il s ‘essaie aux mélanges et part à la recherche d’un son. Loin du parcours scolaire du conservatoire, il joue dans divers projets artistiques : orchestres et spectacles de rue, improvisation sur de la danse contemporaine, jazz lounge et electro-jazz. C’est dans le groupe de jazz-groove Electrophazz qu’il trouve son bonheur et des dates intéressantes : premières parties d’Erik Truffaz, de No-jazz…

Violoniste

 Stéphane Giner commence le violon classique à l'âge de sept ans à l’ENMD de Valence et découvre la basse électrique à Jazz Action Valence où le jazz serra une révélation pour lui. D'influences multiples, il est intéressé par la fusion des genres et par l'improvisation. Il se forme, par le biais du Conservatoire de Valence et Jazz Action Valence (1993/2004) ainsi que du Conservatoire de Lyon (CRR) en violon classique et jazz (2007/2011), auprès de grands musiciens, qu’il croise dans ses cours et dans de nombreux stages : le Quatuor Debussy, Dave Liebman, Laurent Dehors, Mario Stanchev, Andy Elmer, Emmanuel Scarpa, Dominique Di Piazza...

Ses nombreuses expériences de scène, allant du classique au métal, en passant par le funk, le jazz et le rock progressif, font de lui un musicien polyvalent, à la basse ainsi qu'au violon: Tifah (reggae), qui a partagé la scène notamment avec I Am et Israël Vibration, Inlakesh, (chanson du monde), avec lequel il tourne depuis 2010 et sort un album à la rentrée, Pacush Swing, Michtololgy, Tikno Swingtet (jazz manouche), Les nuits d’été (duo de violons baroque), Incontrolados(free rock), Le Caramantran (compagnie de marionnettes géantes, pyrotechnie et musique), qui produit de grands événements (Exposition universelle de Pékin, Carnaval de Roman, Chalon dans la rue...).